jeudi 26 février 2015

Nier la réalité des français de souche relève du négationnisme, j'en suis la preuve...

J'ai la chance d'être issu d'une famille dont l'histoire et la généalogie est abondement documentée par des archives et a été bien explorée par trois générations de généalogistes avant moi. Certains remontent au moyen-âge, mais je n'en ai étudié que les périodes récentes les mieux connues, de 1770 à 1940.
Ayant compilé les noms, les dates et les données biographiques élémentaires de plus de mille personnes sur cette seule durée de 150 ans, voilà le constat qui s'impose :

On y trouve des natifs de toutes les régions de France, des sédentaires et des migrants occasionnels ou définitifs, des expatriés vers les cinq continents et plus particulièrement dans l'ancien empire colonial (comme ceux de l'image ci-contre à Tunis).

Mais pas de trace d'immigration...
Sur ce millier, on a peine à identifier plus de 3 à 5 noms suggérant une origine vraiment étrangère, origines localisables au plus loin dans le périmètre des pays frontaliers, donc européens. Seulement 3 à 5 pour mille... !
Et 1000 personnes franco-françaises liées de près ou de loin par le sang sur 150 ans, n'est-ce pas assez pour faire souche ? A l'évidence, si.

mardi 24 février 2015

Psittacisme politiquement correct : la négation de la "théorie du complot" est bien une pratique de la connerie collective

Il est de bon ton de déclarer avec aplomb "je ne crois pas à la théorie du complot". Réciter cette négation du politiquement correcte confère à son locuteur une illusoire supériorité intellectuelle et une échappatoire facile dès qu'on le confronte à un effort de doute méthodique sur les discours officiels. Autrefois figure de rhétorique de la gauche "conscientisée" qui y voyait un détournement de l'analyse des conflits de classes, elle s'est généralisée bien au delà comme un reflexe inconscient de soummission et une démission intellectuelle.

Les abrutis qui s'en repaissent n'ont pourtant jamais analysé qu'il énoncent ce faisant un quasi syllogisme :
"- la théorie du complot est fausse puis qu'ourdie sur des hypothèses non confirmées
- leurs auteurs complotent contre la vérité,
- je confirme donc ce faisant l'existence d'un complot 
- que je récuse puisque je dis que je n'y crois pas."

Cette contradiction interne est une caractéristique des idées toxiques du politiquement correct.
Elles ne sont pas seulement faites pour servir un "prêt à (ne pas) penser", mais pour faire "bugger" le cerveau de celui qui les répète, l'accoutumer à s'imprégner de contradictions déraisonnées comme un virus informatique pénètre et prend le contrôle d'un ordinateur pour le détruire.

Certes nous ne croyons pas que les malheurs du monde (crises, guerres, injustices, attentats, etc.) soient le fait de complots prémédités pas un petit groupe de malfaisants associés, fussent-ils des banquiers cyniques ou des capitalistes à gros cigares qui jouent aux dés le sort des peuples, encore moins a leur incontournable judéité solidaire qui serait la motivation ultime de leur malfaisance. Tout ceci est aussi stupide que malsain.

Il n'en reste pas moins que dans une société : 
- où les pouvoirs comme les revenus et les patrimoines n'ont jamais été aussi concentrés dans les mains d'une infime minorité
- où les techniques de manipulations de masse n'ont jamais été aussi développées et outillées par les médias numériques
- où les relations sociales n'ont jamais été aussi multi-conflictuelles car multi-communautaires
il est complètement déraisonnable de nier la propensions et la nécéssité systémique des élites :
- à se maintenir par le mensonge, des fictions
- à construire des représentations trompeuses de leurs agissements, 
- à bâtir des stratégie de domination et de concurrence à deux ou trois bandes
- et à déléguer les actions violentes à des populations disponibles car en crise et en déshérence : lumpen-proletariat, racailles, islamistes, antifas...

Complots et pouvoir sont indissociables

Les techniques de division pour régner sont la règle et aucune guerre, aucun attentat, aucune crise sociale ou économique même n'est plus pensable sans recourir à la préméditations convergente de multiples organisations ou acteurs. C'est si vrai qu'aucune organisation influente ne s'en défend, c'est même en général leurs justifications statutaires déclarées !

Je ne sais pas s'il y a des "théories du complot" à suspecter, mais je constate qu'il y a bien une pratique de la con..nerie qui se généralise.


jeudi 19 février 2015

Profanations de cimetières : l'antichristianisme des socialistes pue la mort !

Il est un fait que les catholiques ne demandent pas un apartheid dans la mort et côtoient chrétiennement les défunt athées ou d'autres confessions dans nos cimetières communaux. Mais la réciproque n'existe pas. Pour la gauche, les catholiques n'existent pas, ou du moins ne devraient pas : «Il n’y a pas de cimetières catholiques» dit l'infâme Michèle Delaunay, député PS de Gironde lorsqu'on dénombre les profanations.

Or, c'est précisément les socialistes qui ont favorisé les carrés musulmans et autres séparatismes communautaires : la gauche fait de l'interventionnisme religieux au mépris de la laïcité et au détriment du christianisme.

Michèle Delaunay, député PS de Gironde est donc d'une malhonnêteté flagrante dans son déni déclarant : «Il n’y a pas de cimetières catholiques». Car ce sont bien les sépultures et monuments chrétiens, y compris les églises et calvaires, qui sont les plus dégradés. Mais elle ne veut pas qu'on les comptabilise comme tels.

Pourquoi donc ?

De peur que les effets de la politique anticatholique entreprise par les socialistes avec la complicité de sectes bien connues, de lobby malsains et de puissances d'argent étrangères ne soit mise en évidence.

De peur que les ados et délinquants qui se livrent à des profanations de sépultures soient identifiés pour ce qu'ils sont : des purs produits de "l'éducation nationale", de la déculturation, de la société de consommation, et du "vivre ensemble".
Quand ce n'est pas de la gauche activiste comme ce Pierre B. antifa patenté rapporté par Le Monde comme principal acteur de la profanation du cimetière juif de Sarre-Union.

Au delà de la profanation des cimetières, la gauche profane en plus la langue française en cultivant un vocabulaire mortifère de haine et de division :
antisémitisme, islamophobie, racisme/antiracisme, qui sont autant de fosses communes de la cohésion sociale.
Ce sont ses thèmes favoris et ils lui tiennent lieu de culte et de seul projet !

Oui, la gauche socialiste est vraiment un cadavre pourrissant.
"La France gouvernée pas cadavre", écrivait déjà Maurice Druon dans les années 80.