samedi 15 décembre 2012

Racisme/AntiRacisme : anti-blancs ou pas, un même virus savamment inoculé

La mise en débat de l'idée de "racisme anti-blancs", jusqu'à présent niée comme formule autant que comme réalité vécue, ne devrait pas être perçue comme un progrès par les citoyens patriotes, mais plutôt comme un recul, un piège, voire une défaite.

Le piège

Car accepter l'idée de "racisme anti-blanc" comme rééquilibrage entre le traitement de "différents racismes", c'est accepter l'autorité et la validité de la notion même de racisme, c'est conforter une idéologie perverse, l'anti-racisme, au détriment d'une démarche de connaissance ouverte et raisonnée du réel des relations humaines, c'est renforcer les associations parasites totalitaires bien connues (MRAP, LICRA, LDH...) et leur arsenal répressif liberticide.
Non, le racisme n'est pas un fait du réel ni un trait inné de l'humain : c'est une construction abstraite, un outil de domination fabriqué par ceux qui en parlent le plus.
On ne re-développera pas ici la démonstration : ce n'est pas l'observation de faits sociaux qui a conduit, dans l'histoire, à construire l'idée de phénomène de "racisme" pour le traiter, mais l'inverse : c'est l'idéologie raciste (et aujourd'hui anti-raciste) qui a été et est utilisée par le pouvoir et les dominants pour habiller et provoquer à leur avantage les problèmes sociaux d'un décors causal racialisé. Version savante du « diviser pour régner ».
Il y a toujours eu des idéologues chargé de justifier a posteriori par des théories fumeuses des exactions cachées ou des dominations inavouables imposées aux peuples. Autrefois on a construit une théorie des races contre les peuples colonisés, aujourd'hui on construit une autre théorie des races, celle du métissage, contre nous, peuples occidentaux.
Le virus R/AR (Racisme/AntiRacisme)

Redisons le ici, le concept de « racisme », et sa version 2.0 l'"antiracisme", ne peut en aucun cas servir à qualifier et à analyser posément nos problèmes ni à définir des solutions saines. C'est un virus conceptuel, une arme de manipulation, qui fonctionne dans nos cerveaux et dans nos échanges exactement comme un virus informatique dans les ordinateurs dans un réseau.
Arme, car c'est bien dans les centres de recherche sur les techniques de guerres modernes (militaires comme économiques, puis sociologiques) que cette technique a été élaborée, systématisée depuis un demi-siècle.
Comme tout virus, le R/AR n'a pas de substance organique autonome, il se loge sur un hôte dont il fera un vecteur de contamination pour se diffuser à une échelle collective de masse, atteignant un seuil critique d'efficacité.
Il a été très bien démontré que le R/AR n'a à peu près rien à voir avec le mot ancien "race" et ne s'intéresse absolument pas à harmoniser les relations dans la diversité humaine, encore moins à l'observation de sa prise en compte dans les organisations.
Comme l'explique Paul-François Paoli, journaliste, écrivain, dans « Pour en finir avec l’idéologie antiraciste » (je résume un passage) :
Chacun a pu observer qu'on qualifie de racisme tout et n'importe quoi, les tensions entre "races", entre "classes sociales", entre religions, entre jeunes et vieux, entre corporations, entre blonds et bruns, entre entrepreneurs et fonctionnaires... Des frictions de voisinage, des conflit sociaux aux guerres internationales, tout peut être racisme dans les causes, tout est anti-racisme dans les solutions.
Arrivé à ce stade de banalisation du sens et du mot, donc du réflexe programmé, le virus est prêt à piloter le cerveau des citoyens, des enseignants, des enfants, des patrons, puis des législateurs, etc. Ne reste plus qu'a ajouter un arsenal de lois répressives, et c'est toute la population qui se trouve en état de dépendance et de contrôle cérébral.
Mais voilà ! le virus a déjà aussi pris le pilotage du cerveau des résistants, des militants patriotes, des victimes des violences induites par le communautarisme qui croient se défendre en hurlant au racisme anti-blanc !
Conclusion

Parler de racisme anti-blancs, c'est se battre sur le terrain de l'ennemi, là où il est le plus fort - et le plus criminel. Et notre ennemi n'est pas le noir ou l'arabe mais bien le manipulateur anti-raciste communautariste, quelle que soit sa couleur.
Une fois évacués les effets du virus, on pourra examiner les causes de la délinquance et de la criminalité qui passe majoritairement par les populations immigrées, mais sans y mettre, de grâce !, de facteur racial imaginaire.

voir aussi
http://www.lecourrierdelatlas.com/Dossier/LES-DERIVES-DE-L-ANTIRACISME.html
RADICALISATION Depuis près de vingt ans, l'antiracisme sombre dans le différentialisme et dans un virulent réquisitoire contre l'universalisme. Une erreur qui lui fait adopter les travers du rac...

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