mercredi 14 août 2013

Fabius, la Syrie : le bal des vampires doit finir

Les syriens vous demanderons des comptes, Laurent Fabius... nous aussi !

Le peuple syrien est entrain de gagner un guerre d'agression et d'ingérence étrangère épouvantablement meurtière. Nous sommes peut-être près d'assister à la première victoire hautement symbolique d'une nation au XXIe siècle, et d'une nation arabe en particulier, ce qui n'était pas arrivé depuis des décennies. Ce qui pourra marquer un tournant dans la donne géostratégique moyen-orientale comme dans l'esprit des patriotes attachés à la résistance des nations.


Plus que jamais, le gouvernement français, celui de la gauche UMPS décadente, aura été dans cet épisode tragique celui de la honte, de la complicité dans le crime, du mensonge et de l'hypocrisie. En un mot de la gauche.

Fabius et le goût du sang vu par Minute
en 1992. Y a t-il une corrélation ?
Fabius, symbole de cette méprisable gauche caviar et du sang contaminé, y apparaît plus que jamais comme un sinistre opérateur de l'ombre et un cynique fauteur de guerre.
Sa déclaration à la presse en juin 2013 : "Le président Bachar el Assad ne mérite pas d'être sur terre" donne à elle seule, en plus du ridicule, la mesure de l'inconscience politique et de la toxicité du personnage.

On se félicite d'apprendre par des sondages multiples que l'opinion européenne et française non seulement n'a jamais soutenu cette ingérence, en Syrie, après le désastre lybien, mais commence à douter plus profondément de l'intérêt national des motifs de la politique étrangère du quai d'Orsay comme de l'identité réelle de ses décideurs. La propagande médiatique de désinformation n'opère plus en occident, et on apprend qu'elle atteint un tel degré d'artifice et d'incohérence qu'elle renforce celle du pouvoir syrien dans l'adhésion de son peuple composite et de ses alliés libanais.

Car que cela vous plaise ou non, M. le Vampire socialiste,
Bachar el Assad est toujours et restera après les prochaines élections syriennes le Président des syriens et le nouveau leader des nations arabes dans leur diversité ethnique ou confessionnelle.

Il vous restera à vous expliquer sur le motifs de votre parti pris anti-Assad, l'illégalité en droit international de cette ingérence contre un régime légitime, dont l'aspect humanitaire cache mal les trafic d'armes ou le recrutement de mercenaires que vous avez laisser filer de France et d'Europe vers les milices djihadistes.

Quand à nous il nous restera à trouver les moyens de vous faire poursuivre pour participation à un crime contre l'humanité que vous évaluez vous même à plus de 100 000 morts et un million de blessés. La culpabilisation pour complicité de crime à changé de camps !

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