jeudi 5 septembre 2013

Obsénité d'état à Ouradour les Damas

La cérémonie du 4 septembre à Ouradour sur Glane opéré par Guignol Flamby et l'allemand Gauck est encore une de ces cochonneries émotionnelles pour tester l'état de lobotomisation de l'homme-masse sous contrôle médiatisé.
Comment ne pas voir la contradiction entre la dénonciation d'un tel crime de guerre et son organisation parallèle en Syrie depuis des mois.
Comment de surcroit ne pas voir que ce "devoir de mémoire" n'est que le déchet de substitution du pourrissement de l'enseignement de l'histoire dans nos écoles, encore réduit cet année par l'idéologue Peillon.

Profitons-en pour remettre du sens dans les mots :

La mémoire est une faculté individuelle, il n'y a pas de mémoire collective, encore moins d'ethique mémorielle. "Devoir de mémoire", ça ne veut rien dire.


A l'échelle collective inter-individuelle, locale, familiale, il y a des traditions qui regroupent des expériences, des patrimoines matériels et intellectuels, stratifiés par le cycle des générations. Je n'ai pas connu la guerre 39-45, mais je m'en souviens par l'intermédiaire du témoignage de mes parents. Nous n'avons eu besoin de personne pour cette transmission. Or cette "mémoire" traditionnelle est compromise par le système des médias et l'attaque permanente des structures traditionnelles (la famille en particulier)

Au delà il n'y a que l'Histoire ou la Littérature. Il y a clairement un devoir d'apprendre en général et l'histoire en particulier. Ce que l'Education nationale ne fait pas.

Non, cette pseudo mémoire dont on nous bassine n'est autre qu'une fiction instituée comme religion d'état, instrument de propagande. Et Ouradour sur Glane reste aussi un site formaté pour correspondre à la narration remaniée par les vainqueurs pour leur convenance personnelle, soutenir leur idéologie, sûrement pas uniquement pour la vérité historique.

lire la note Wilkipédia : Massacre d'Oradour-sur-Glane

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