Vous l'avez sans doute lu, la 17e chambre correctionnelle de Paris a relaxé jeudi 19 mars un
rappeur et un pseudo-sociologue qui avaient été poursuivis par l'AGRIF pour les contenus de leur publication intitulée "Nique
la France". Contenu incitant à la "haine", s'il en est et c'est peu dire.
Cette juridiction a pourtant estimé que :
«les Français blancs dits de souche ne constituent pas un groupe de
personnes» au sens de la loi de 1881 sur la liberté de la presse et que cette notion «ne recouvre aucune réalité légale, historique,
biologique ou sociologique ».
Rien de moins.
Malheureusement ce type d'ineptie est d'une rhétorique courante. Et les juges n'en sont plus à une contradiction ou un déni de réalité près.
Ce jugement est hallucinant :
il a le mérite de mettre "noir sur blanc" le racisme
institutionnel ambiant
Accessoirement, sur la notion de "réalité légale", on rappellera à
ces juges que du temps de la traite négrière, les africains noirs
n'étaient pas, sur le sol africains, des sujet de droit, ne
recouvraient donc non plus aucune "réalité légale" autre que
mobilière, et pouvaient être traité comme des matières premières... Il n'en allait pas de même sur le sol français : un esclave mettant
le pied sur le sol de France était de se simple fait affranchi... de
par le Roi !
Visiblement, aujourd'hui les français de souche sont collectivement
en régression sur le statut des esclaves noirs affranchis sous
l'ancien régime :
il n'ont même plus d'existence légale collective !
Bravo l'humanisme républicain !
Quand le juge ment
Plus objectivement, si effectivement «la blancheur ou la race
blanche» n'est «en aucune manière une composante juridique de la
qualité des Français», ce que personne ne remet en cause,
dire que les "français blancs dits de souche" n'ont pas de
réalité historique ni sociologique
tient du négationisme bien plus flagrant que la négation
des chambres à gaz... et bien plus grave dans ses effets.
Émanant d'un juge, le fait devrait être sanctionné au pénal !
Comme je l'ai développé dans un article
de mon blog, l'aspect historique et sociologique de nos
souches
familiales n'est pas une opinion mais un fait établit abondement
documenté. Sur 1000 aieux repertoriés entre 1793 et 1940, nous n'avons aucun
apport extra-européen et 99% de franco français. Les siècles précédents sont encore plus homogènes.
La notion de souche, donc de français de souche est donc
inattaquable et indéniable comme fait historique et sociologique contemporain.
Ce n'est ni bien ni mal, c'est juste un fait vérifiable. Il ne
s'agit pas de l'opposer à d'autre composantes démographiques, mais de défendre la vérité contre les juges-ment...eurs.
Reste maintenant à ces juges de nous expliquer la "réalité légale"
des noirs que prétend représenter le CRAN
organisation statutairement raciste pourtant admise à ester en
justice.
Car légaliser le CRAN, c'est légaliser la race... légaliser la race
est légaliser le racisme... ou est la cohérence ?
- "Nique les noirs" ne serait pas idée, mais un délit de racisme
- "Nique les blanc" serait une simple idée participant de la lutte contre le racisme
On voit bien une fois de plus qu'anti-racisme et racisme ne sont
qu'une seule et même démarche.
Il est temps de réagir !
En parallèle, un choquant deux poids-deux mesure :
Grasse: interdiction d'exposer les pâtisseries racistes en vitrine extrait d'un article de France 3 :
"Le tribunal administratif de Nice vient de condamner la ville de Grasse à faire cesser l'exposition publique des pâtisseries en chocolat jugées "obscènes et racistes".
Saisi en référé par le CRAN, le tribunal a estimé que l'exposition en vitrine des gâteaux "dieux et déesses" portait atteinte "et cela en l'absence même de volonté malveillante de leur créateur", à la dignité de la personne humaine et plus particulièrement à celle des personnes africaines ou d'ascendance africaine."
Les personnes d'ascendance africaines noires, notion racialiste s'il en est, contituent-elle une réalité légale ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire